
Tout le reste n’est que bruit
ARC exposition
Tout le reste n’est que bruit
Vernissage :
Vendredi 31 mars à 18h. Durée de l’exposition : du 31 mars au 6 avril
Ouvert au public les 1er, 3, 4, 5 et 6 avril de 15h à 19h — Entrée libre
Curateur·ice·s :
Étudiant·e·s du Master Sciences et Techniques de l’Exposition de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne : Annarosa Spina, Mikaël Camhaji, Jean-Baptiste Richebourg.
Accompagné·e·s de Christophe Viart, professeur à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Scénographes :
Étudiant·e·s du Pavillon Bosio : Ahmad Reshad, Claire Héraud, Marian Vignali, Maria-Magdalena David, Tetyana Nahaychuk, Héloïse Gallet, Illona Rougemond-Mosconi, Isaac Elbaz.
Accompagné·e·s de Laurent P. Berger, Renaud Layrac et Mathilde Roman, professeur.e.s au Pavillon Bosio.
Visite de presse :
16h, rencontre avec les curateur·ice·s, scénographes et Bernard Massini (sur rendez-vous).
L’exposition Tout le reste n’est que bruit est issue du partenariat entre le Pavillon Bosio et le Master Sciences et Techniques de l’Exposition de Paris 1 Panthéon-Sorbonne. À partir de la collection privée de Bernard Massini, les étudiant·e·s ont conçu une expérience sensorielle mêlant sons et peintures. Prenant place au sein du Pavillon Bosio du 31 mars au 6 avril, Tout le reste n’est que bruit invite à d’autres imaginaires dans une déambulation rythmée autour d’un pavillon sonore qui accompagne la contemplation des peintures. De moment individuel, l’exposition devient espace collectif. Cet aperçu de la collection de Bernard Massini est teinté de mélancolie, de douceur et de violence. Neurochirurgien de profession, le collectionneur est attiré par des tableaux qui évoquent toute la force et la beauté de la condition humaine. Si l’art ne peut guérir, il a la capacité de proposer un ailleurs. De manière consciente ou non, il agit sur notre esprit. Tout le reste n’est que bruit souligne la complémentarité de la scénographie et des pratiques curatoriales, ici rendue possible par ce partenariat pédagogique. Les étudiant·e·s ont ainsi réalisé un voyage synesthésique expérimental et ambitieux questionnant le rôle de l’art, de la sublimation du réel à la dépiction de nos torsions jusqu’à la porosité des êtres et la solitude de ceux qui restent.